John Robinson, États-Unis d’Amérique

18 April 2012 | Article

L'UICN se distingue par sa capacité à réunir ses Membres, à mettre à profit son expertise scientifique et technique, à rassembler autour d'une même table des gouvernements, des ONG et le secteur privé et à favoriser le consensus en matière de politique et de pratique de la conservation.

Je connais les possibilités et les contraintes de la structure et des capacités organisationnelles de l'UICN et j'ai la ferme conviction que l'Union devrait consolider ses Commissions, axer les activités du Secrétariat sur le renforcement de l'efficacité de ses Membres et continuer à être le porte-parole des groupes en charge de la conservation dans le cadre des discussions à l'échelle mondiale et nationale.

J'ai conscience de la difficulté qu'il y a à assurer la viabilité financière d'une organisation aussi complexe. J'apporte à la fonction de Conseiller régional une carrière activement consacrée à la conservation de la diversité biologique ; j'assure parallèlement la supervision des programmes de conservation en Amérique du Nord, en Amérique latine et aux Caraïbes, en Asie, en Afrique et dans le milieu marin. Je suis sensible à la conservation de l'équilibre entre protection de la nature, utilisation des ressources naturelles, moyens de subsistance et qualité de vie.

J'ai une longue expérience de collaboration dans le monde entier avec des organismes gouvernementaux et des ONG et je collabore de longue date avec l'UICN (notamment dans le cadre de la CSE, de TRAFFIC et du Groupe consultatif sur l’utilisation durable) ; j'ai également une expérience considérable en matière de gestion et d'administration (après avoir dirigé les programmes de conservation de la Wildlife Conservation Society pendant plus de 20 ans) et en tant que membre du Conseil d'administration de fondations philanthropiques, d'ONG, d'associations professionnelles et de cercles scientifiques.