Brendan Mackey, Australie

18 April 2012 | Article

Au cours de mon premier mandat en tant que membre du Conseil de l’UICN, j’ai été co-président du Comité des politiques et du Programme, membre du Groupe de travail sur le secteur privé et membre du Groupe spécial sur les changements climatiques.

Dans le cadre de ces activités j’ai pu apprécier le rôle qu’une politique générale peut jouer pour promouvoir une collaboration harmonieuse entre toutes les composantes de l’Union et l’avantage qu’il y aurait pour le Secrétariat, les Commissions et les Membres à travailler en coopération au développement de standards, de protocoles et de règlements, à l’avancement des connaissances et pratiques de la conservation et à l’avancement de solutions basées sur la nature grâce à des processus internationaux.

Dans les quatre années à venir et au-delà, l’UICN sera plus que jamais nécessaire alors que la progression et l’impact de la mondialisation et du développement économique conventionnel continuent de croître. Non seulement il nous faut faire face à l’intensification des processus menaçants actuels qui pèsent sur la conservation de la biodiversité, mais de nouvelles menaces apparaissent du fait, entre autres, de l’accroissement de la demande en terres cultivables et en ressources naturelles.

Mon expérience de Conseiller régional ainsi que mon expertise professionnelle dans les domaines des changements climatiques, de la gestion des écosystèmes, de la conservation de la biodiversité, d’éthique et de développement politique, m’apportent de solides fondations pour assumer un second mandat au Conseil et aider l’UICN à rester une organisation saine et efficace.